Au nom des sous-citoyens contribuables

Rupture d’égalité devant l’impôt

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L’Association des Contribuables Berrichons s’étend sur tout le territoire afin de défendre les sous-citoyens contribuables.

Ce statut résulte de l’introduction du pass sanitaire qui a créé deux classes de contribuables : les citoyens et les sous-citoyens.

Ainsi nous, sous-citoyens refusant l’injection rendue quasi-obligatoire, avons subi un chantage pour nous soumettre à des tests, avant  que le pass vaccinal mis en place opère une rupture franche d’égalité devant l’impôt et un certain nombre de services.

Discriminés

La fréquentation des bars et des restaurants, des cafés nous a été fermée, la pratique d’un sport ou d’une activité culturelle s’est interrompue, nous fûmes encore privés de la fréquentation de salons, d’expositions, de lieux de divertissement, de musées et attractions, des parcs de loisir, nos enfants ont été discriminés à l’école.

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Nous avons aussi été interdits d’hôpitaux,  de cliniques : nous n’avons pu nous faire opérer ou soigner pour des soins programmés, certains médecins ont poussé la soumission jusqu’à conditionner l’accès à leur cabinet au pass de la honte. Idem pour la fréquentation des transports aériens et ferroviaires, des centres commerciaux. Nous n’avons pu rencontrer nos aînés en EHPAD ou les accompagner lors de leur hospitalisation, accès fermé également aux établissements accueillant des personnes handicapées ! Quel traumatisme pour les plus faibles d’entre nous, dont les morts de chagrin…

Un travail de propagande de grande ampleur a été payée par la redevance : spots sur le piquage ; par le budget versé à l’éducation nationale incitant nos jeunes à se faire piquer en cours d’Éducation Morale et Civique, sans que les parents n’en soient informés.

Etat liberticide et spoliateur

Les dommages subis par les sous-citoyens sont donc inestimables en termes de budget et de libertés. Ceux qui ont dû céder pour conserver leurs emplois (12000  soignants suspendus depuis 1 an : médecins, infirmiers, …) commencent à souffrir d’effets secondaires en attendant que le nouveau scandale sanitaire d’État, après celui du sang contaminé, soit reconnu.

Une partie des dommages peuvent cependant être chiffrés pour les contribuables, ils correspondent à des soustractions monétaires pour des services fermés aux sous-citoyens.

Nos libertés ont été abimées par l’exclusion de services essentiels que l’on fait payer au centuple.

Nous payons donc des indemnisations suite aux mesures de confinement et de la perte de clientèle sous-citoyenne dites « aides d’urgence pour les entreprises » et « plan de relance », du financement des mesures de chômage partiel  dit « fonds de solidarité », ainsi que des coûts d’achat du matériel biologique.

En janvier 2022, selon les déclarations d’Olivier Dussopt au journal « Les Échos », la facture pour l’ensemble de ces dépenses lors des trois années de politique sanitaire a dépassé les 140 milliards d’euros. Un chiffre qui donne le vertige et fait exploser la dette française alors que les dépenses publiques dépassent 60 % des richesses que nous créons !

Mais la facture va encore grimper puisque la thérapie génique dite vaccins nous est facturée à travers la Commission européenne qui a contracté en notre nom sans faire la transparence sur ledit contrat au nom d’une prétendue confidentialité.

Nous savons que pour les nouveaux contrats relatifs à ces poisons la dose Pfizer de BioNTech passe de 15,5 à 19,5 euros, la dose Moderna de 19 à 21,5 euros.

Les coûts à ce jour de ces prétendus vaccins se montent à 5,115 milliards d’euros (330 millions de doses Pfizer) + 100 millions d’AstraZeneca +  950 millions d’euros (50 millions de Moderna) + 20 millions de Johnson & Johnson.

Selon Olivier Dussopt, ministre des comptes publics : « La provision de 5 milliards prévue pour la vaccination et les tests cette année sera dépassée ». Rappelant au passage que la campagne de tests de dépistage devrait coûter, pour le seul mois de janvier 2022, un peu plus de 1,5 milliard d’euros.

Il ne s’agit pas de contester l’ensemble du dispositif de test mais 80 % de ces coûts dans la mesure où le surtest a été alimenté par l’hystérie collective déclenchée par la politique du gouvernement.

Il s’agit de faire le compte des dommages subis par la mémoire de ces crimes contre les libertés : une telle tâche nous appartient en tant que contribuables et individus ne consentant pas à ce que nos libertés soit abîmées et à ce que nous contribuions par nos deniers au saccage de nos libertés.

Lettres Béninoises

lettres béninoisesDe la France ! morceaux choisis du livre de Nicolas Baverez : lettres béninoises : (édition Albin Michel ) lecture recommandée

Ministre des finances : Son dernier fait d’arme consiste dans le vote par le parlement d’une loi de simplification, de modernisation et de transparence de l’action publique de plus de deux mille pages dont il travaille sans relâche les textes d’application.

La silhouette efflanquée et la mine terreuse, on dirait un saint Sébastien des finances publiques, criblé par les flèches des déficits et des dettes. Mais un saint Sébastien qui aurait perdu foi en toute possibilité de salut. Vu l’optimiste démesuré des prévisions de croissance, la surestimation des recettes et la sous-estimation des dépenses.

Comment un tel chaos avais pu s’installer dans un pays aussi riche ! ( nous ne sommes plus riches que de règlements et de taxes, de fonctionnaires, de retraités et de chômeurs. Les Français ont ruiné l’état en s’installant dans l’illusion que chacun, sans travailler, pouvait vivre à crédit aux dépens de son voisin.

Agences étatiques : d’abord, j’ai dû patienter longtemps à la porte car personne n’arrive avant 10 heures. Celle qui m’a finalement ouvert était la femme de ménage. Puis j’ai découvert que l’équipe ne compte que des français issus de différentes administrations nationales, ce qui est contraire à toutes nos règles de fonctionnement. Cette situation s’est installée au fil du temps sans que nul ne s’en soucie, du fait de l’activité réduite de l’agence.

Ministre de l’industrie : à ma grande surprise, je me suis aperçu qu’il ignore tout de l’entreprise. Et même de l’industrie ! Il s’est lancé dans un plaidoyer en faveur de la démondialisation et de la réhabilitation du rôle de l’état dans la politique industrielle. A l’entendre, la quasi-disparition de l’industrie en France découle d’une intervention publique insuffisante. L’état ne s’est pas substitué assez rapidement à la défaillance des chefs d’entreprises et aux dysfonctionnement du marché. Ce naufrage devrait aussi beaucoup à l’excès de la concurrence qui aurait empêché l’émergence de champions français dans la compétition internationale. La veulerie des industriels et les exigences du capital, voilà pour lui, les véritables coupables !

Les fléaux sociaux : Ce qui me choque plus que tout, c’est la responsabilité de l’état dans le chômage permanent qui mine l’économie et la citoyenneté. C’est le sacrifice systématique de la jeunesse au profit des retraités, donc le sacrifice de l’avenir au passé. La famille, qui constitue partout l’un des remparts les plus efficaces contre les chocs économiques. Ici n’a pas été épargnée. Sous couvert de « supervision du marché du travail », c’est l’état qui bloque la création d’emplois et génère le chômage qu’il tente ensuite de masquer par des programmes d’emplois aidés, improductifs et ruineux pour les finances publiques.

Nos enfants : Prés, des deux tiers des jeunes sont au chômage et grossissent les rangs des « souteneurs de murs » . Ceux rares, qui finissent par trouvez un emploi voient leurs rémunérations ponctionnées de prés des deux tiers par les impôts et les charges pour financer les trous sans fond du budget et de la protection sociale. La plupart sont contraints de cohabiter avec leurs parents, faute de disposer de revenus suffisants pour se loger.

Pour plus d’info je vous recommande la lecture de ce livre. Humour et déclin…

Gérard GELE

Le fermier et le contrôleur

Tiré d’un histoire qui circule sur le net

garden-gnomeUn brave fermier du Berry, pas très loin de Bourges, reçoit la visite inopinée d’un contrôleur des impôts syndiqué « Solidaires ». Le zélé inspecteur, militant de la lutte des classes et ayant ses entrée au Conseil Général, avait décidé sous les conseils d’un avocat militant du cru d’amplifier sa chasse aux exploiteurs.

Le brave fermier était tout bonnement suspecté de sous-payer son personnel.

L’inspecteur lui demande d’un ton qui ne suppose aucune réplique : « Montrez moi le registre de vos employés ainsi que leurs fiches de paye ! »

Le fermier est bien ennuyé, il ne retrouve plus la paperasserie, il énumère alors de mémoire la liste de ses salariés :

« D’abord, il y a le garçon de ferme, il fait bien ses 35 heures pour 400 euros par semaine, plus le gîte et le couvert. Ensuite, la cuisinière, elle travaille aussi 35 heures mais pour 300 euros la semaine avec le gîte et le couvert. Bon, je mentionne pas l’URSSAF, je rajoute encore 500 euros de cotises à la louche…

Le contrôleur sentant bien qu’on lui cachait quelque chose,  le coupe : « Vous ne me dîtes pas tout mon vieux, je le sens bien, allez ne m’obligez pas à faire parler tout le monde. »

« Oui, bon y aussi Simplet, il travaille 18 heures par jour, 126 heures par semaine et accomplit les ¾ des travaux de la ferme. Je lui donne 10 euros par semaine, mais il paie sa nourriture et son logement. Le samedi soir je lui achète une bonne bouteille de whisky et à l’occasion ma femme lui fait des calins. »

Le contrôleur, écarlate, explose : « Ah putain d’exploiteur, c’est ce pauvre bougre que je veux voir, où qu’il est  ? »

« Il est en train de parler à un trou du cul, juste en face de vous : c’est moi Simplet ! »

Subventions du Cher : le foutage de gueule

1984L’Association des Contribuables Berrichons est décidément la seule association locale qui assure d’une vigilance constante face à une volonté affichée du Conseil Général du Cher à ne pas informer de sa politique de subventions aux associations.

Encore une fois il aura fallu l’intervention du préfet pour que l’exécutif du Cher s’exécute et encore, la façon de s’exécuter tient du foutage de gueule puisque si sur le fond la lettre de la loi obtient finalement gain de cause, allez un peu voir le format de ces subventions et dites moi si vous comprenez qui touche quoi : http://www.cg18.fr/IMG/pdf/sub-2012.pdf

Pour aller plus loin : article de notre association mis en ligne sur le site de l’Observatoire des Subventions.

Amicale des Conseillers Généraux du Cher

Contrepoints-300x68Il n’est pas dans nos habitudes de repiquer le travail d’enquête des autres. Nous remercions donc le magazine en ligne « Contrepoints » pour s’être intéressé d’assez près aux subventions accordées par le Conseil Général du Cher.
Liste désormais en ligne grâce à la ténacité de notre association.

Parmi ces associations, une en particulier est pour le moins intéressante : l’Amicale des Conseillers Généraux du Cher, mais lisez donc pour vous faire votre idée.

Voitures électriques : un cadeau signé Ayrault

L’information circule sur Internet, elle méritait bien d’être reprise dans nos colonnes tant elle est savoureuse :

J’espère que vous n’avez pas raté, la dernière bonne blague de notre gouvernement !!!

Ils viennent de nous annoncer une baisse des péages…… pour les … « voitures électriques »…..

Quand on sait que ce type de véhicules a, entre 100 et 150 km d’autonomie, et qu’aucun moyen de recharger n’existe sur les autoroutes, … on a de quoi se marrer …

Mais supposons, que des bornes électriques existent un jour pour recharger sur les aires d’autoroutes …

Si vous faites Paris-Marseille, il vous faudra recharger 7 fois, à raison de 6 heures à chaque recharge, ce qui fait 42 heures de recharge, à rajouter aux 8 heures de route …

ça fait donc 50 heures de trajet  en voiture électrique, contre 3 h en TGV pour faire Paris-Marseille…..ça prenait moins de temps en diligence, non  ??? …..

Alors, même avec une « médiocre » ristourne sur le péage, c’est l’exemple type de décision débile dont on nous abreuve quotidiennement …. et ce ne sont pas les journalistes qui vont relever ce genre d’ineptie !!!!

Ah, vivement demain, pour leur prochaine bonne blague….

Avant de vous envoyer ce mail, car je n’y croyais pas !!! j’ai vérifié : hélas c’est vrai !!!

De droite à gauche ça taxe

Comme le disait Clémenceau, en France on plante des fonctionnaires et il pousse des impôts.

Ce n’est donc pas une question de goooche ou de droite, à moins qu’il y ait des dépenses de gooooche et des dépenses de droite. En tout cas ce qui est sûr c’est qu’il n’y a pas de coupes dans les dépenses à goooche ou à droite. Dommage les occasions ont été ratées et des fonctionnaires licenciés pour cause économique cela n’existe malheureusement pas.

Du coup le gouvernement actuel se ridiculise en créant la même TVA de goooche qu’il avait vomie quand il s’agissait d’une TVA de droite mais dite « sociale » pour que cela passe mieux.

L’UMP n’a pas manqué de le faire remarquer et avec un certain talent dans cette video qui mérite le coup d’oeil :

 

Taxation, Spoliation, Dilapidation……..Déclin !

 

Votre argent les intéresse

Votre argent les intéresse

La France a une longue tradition de conflit entre les riches et le pouvoir politique.

Nous avons d’abord assassiné les Templiers pour nous approprier leur or. Échec. Leur trésor était dans leur savoir et leur talent de gestionnaire.

Puis, nous avons persécuté les Huguenots. Ils sont partis à l’étranger avec leur intelligence, leur courage et leur compétence économique. Ils ont fait la fortune de ceux qui les ont accueillis. ( aujourd’hui, les riches entrepreneurs )

Ensuite, nous avons massacré les nobles pour leur voler leurs biens. Nous n’avons pas su les conserver.

Enfin, les mœurs s’étant adoucies, nous nous sommes contentés de condamner les rentiers et  les fourmis à la spoliation fiscale.

Cette saine habitude se poursuit de nos jours.

Nous avons fait fuir les vrais riches avec l’inutile impôt sur la fortune, tout en protégeant ceux qui n’aiment pas les riches alors qu’ils en font partie.

De ce fait, les portes de notre patrimoine sont grandes ouvertes aux capitaux étrangers. 60/70 % des intérêts de la dette pour nos créanciers ?  30/40 Milliards !

Il ne reste plus que les classes moyennes. Celles qui se constituent, à force de privations, un capital pour ne pas être à la charge de la société. Classes moyennes elles étaient déjà fortement taxées sur leurs placements au service de la collectivité. Ignoble actionnaire qui finance nos entreprises donc nos emplois ! taxé à plus de 40 %

Pourtant, cet argent avait déjà été soumis à l’Impôt sur les revenus.

Résultat : Faire payer deux fois l’I.R. ? Génial : Notre philosophe français avait bien raison de dire que le bon sens est la chose du monde la mieux partagée.

Si vraiment la compétitivité était l’objectif, il y aurait une solution toute simple : baisser les charges. C’est plus facile à comprendre, plus efficace, et surtout plus juste. Car le vrai problème de ce dispositif n’est même pas sa lourdeur administrative et son inefficacité économique ; c’est le refus latent du droit de propriété qu’il présuppose.

Les entrepreneurs ne sont que gérants d’une société qu’ils ont pu fonder,  mais qui pour le parti socialiste appartient en droit à l’État

– lequel, dans sa grande mansuétude, veut bien accorder un crédit d’impôt après les avoir assommés de taxes ! 

 

Gérard Gelé

Ennemis d’Etat ?

Après les atteintes au porte-monnaie, c’est notre liberté de penser qui inquiète l’Etat. Voici un appel que l’on nous a transmis.

Nous ne pouvions donc que le diffuser et appeler tous ceux qui nous lisent à relayer cet article dont l’intégralité se trouve ici :

http://www.agoravox.fr/actualites/technologies/article/france-le-decret-de-l-incroyable-90080

Le décret n° 2011-219 du 25 février 2011 (http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000023646013&categorieLien=id) relatif à la conservation et à la communication des données permettant d’identifier toute personne ayant contribué à la création d’un contenu mis en ligne a été publié hier au Journal Officiel sans l’avis de la CNIL rendu le 20 décembre 2007.

Ben oui, le seul espace d’une véritable information indépendante, finit par nuire à la « COMMUNICATION » diffusée par les médias aux ordres…

La propagande officielle ne saurait souffrir d’une atteinte si grave à sa diffusion tous azimuts ; aussi, tous les internautes se retrouvent désormais totalement fliqués, jusque dans leur intimité la plus inviolable, par la grâce d’un décret digne des pires dictatures…

On savait déjà être écouté, localisé, filmé, épié, dans l’espace public par tous les moyens mis à disposition d’un état policier (système « échelon » à la mesure planétaire, écoutes illégales, puces des téléphones portables, caméras de surveillance, etc…) ; c’est maintenant à l’espace privé que s’attaquent, en douce et en toute pseudo « légalité », les petites mains de big brother….

Odette Publique

Ah mais c’est qu’elle a du bagout Odette Publique et elle est très bien informée sur la République des Fromages.

Il paraît que dans ce pays l’abolition des privilèges date de 1789, en réalité c’est là ce que certains veulent faire croire à nos gamins dans les cours d’éducation citoyenne. Le mouton doit y croire pour se faire tondre sans mordre.

Mais regardez plutôt :

N’oubliez pas non plus d’aller voir un peu combien nous coûtent nos conseillers généraux, ceux du Cher comme les autres. Cher, oui très chers ils nous coûtent pour nous pomper l’air !